Afin d’aimer en nous…
Afin
d’aimer en nous, (si ce n’est le peccable), Tout
ce que Tu aimais en lui,
Tu voulus que Ton Fils à l’homme fût semblable ;
Puis, en lui, l’homme T’a séduit.
C’est, ô Dieu de tendresse, un immense mystère,
Que le genre humain soit sauvé
Vraiment humainement par un fils de la terre,
Par lui, notre péché lavé.
Tout autant que vrai Dieu, véritablement homme,
Ton Fils fut l’homme obéissant
Qui de toutes vertus parachevait la somme :
Comme homme il a donné son sang.
Vertigineux arcane, encore plus immense,
Qu’on pût en lui Te contempler
Pour que renaisse en nous la haute ressemblance
Dont Ton amour nous a comblés.
Nous avions par orgueil déformé cette image
Où brille l’unique Beauté ;
Tu la transfiguras en donnant un visage
A votre Sainte Trinité.
Afin d’aimer en nous la seule créature
A qui Tu prêtas l’univers,
Tu fis que l’Engendré comme nous tous endure
Le chaud l’été, le froid l’hiver.
Tu voulus que Ton Fils à l’homme fût semblable ;
Puis, en lui, l’homme T’a séduit.
C’est, ô Dieu de tendresse, un immense mystère,
Que le genre humain soit sauvé
Vraiment humainement par un fils de la terre,
Par lui, notre péché lavé.
Tout autant que vrai Dieu, véritablement homme,
Ton Fils fut l’homme obéissant
Qui de toutes vertus parachevait la somme :
Comme homme il a donné son sang.
Vertigineux arcane, encore plus immense,
Qu’on pût en lui Te contempler
Pour que renaisse en nous la haute ressemblance
Dont Ton amour nous a comblés.
Nous avions par orgueil déformé cette image
Où brille l’unique Beauté ;
Tu la transfiguras en donnant un visage
A votre Sainte Trinité.
Afin d’aimer en nous la seule créature
A qui Tu prêtas l’univers,
Tu fis que l’Engendré comme nous tous endure
Le chaud l’été, le froid l’hiver.
Tu
voulus que le Verbe, éternelle Sagesse,
Apprît, comme un petit garçon,
Tout ce qu’il faut ici qu’un adulte connaisse,
Et de Joseph prît ses leçons.
Afin d’aimer en nous le bagou des prophètes
Que l’Esprit change en Vérité,
Tu donnas notre voix au Roi Christ et Poète
Et nos lèvres pour Te chanter.
Apprît, comme un petit garçon,
Tout ce qu’il faut ici qu’un adulte connaisse,
Et de Joseph prît ses leçons.
Afin d’aimer en nous le bagou des prophètes
Que l’Esprit change en Vérité,
Tu donnas notre voix au Roi Christ et Poète
Et nos lèvres pour Te chanter.
Alors,
c’est de nos mots qu’est faite la louange
Dont bat le Ciel d’un même pouls.
Et l’on dit que l’Eglise enseigne à tous les anges
Le langage de son Epoux.
Afin d’aimer en nous l’amour du Fils au Père,
A la biche celui du faon,
Tu nous fis découvrir que croire en lui libère
Le pouvoir d’être Tes enfants.
Afin que nous aussi nous T’aimions comme il T’aime,
Il nous fut miséricordieux.
Afin que nous aussi l’aimions comme Tu l’aimes
Tu nous l’as montré comme Dieu.
Dont bat le Ciel d’un même pouls.
Et l’on dit que l’Eglise enseigne à tous les anges
Le langage de son Epoux.
Afin d’aimer en nous l’amour du Fils au Père,
A la biche celui du faon,
Tu nous fis découvrir que croire en lui libère
Le pouvoir d’être Tes enfants.
Afin que nous aussi nous T’aimions comme il T’aime,
Il nous fut miséricordieux.
Afin que nous aussi l’aimions comme Tu l’aimes
Tu nous l’as montré comme Dieu.
*
Guy
Jampierre, novembre 2011
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